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L'un des attraits de Montréal tient à sa diversité culturelle. Les cultures se côtoient, se rencontrent, et de cette diversité naît une grande richesse. La religion, qui fut la raison même de la fondation de la ville, s'est enrichie au fil des vagues migratoires de lieux de culte, outre ceux du catholicisme. Le passage d'un pays à un autre, d'une culture à une autre ne se vit pas uniquement par la diversité des restaurants, épiceries ou autres magasins, mais aussi par des lieux de culte où les nouveaux arrivants qui partagent les mêmes valeurs peuvent se rencontrer. Or chaque culture, religion ou mode de vie est soumis à des règles et à des traditions qu'il convient de respecter et de comprendre plutôt que de juger. Parmi les religions non chrétiennes, on retrouve principalement du fait de l'immigration, l'Islam, le Judaïsme, le Bouddhisme, le Sikhisme, l'Hindouisme ... Aujourd'hui, elles connaissent un vrai regain d'intérêt et de curiosité mais elles suscitent beaucoup de craintes.

À travers des portraits, des récits et des paysages, ce reportage documentaire explore la réalité des Néo-Québécois à Montréal. Il comprend trois éléments : portraits, extraits d’entrevues menés auprès des personnes photographiées et paysages urbains. Nous avons choisi d’interviewer et de photographier des personnes de diverses origines, d’âges différents et de diverses professions qui ont comme point commun d’être des Néo-Québécois. Ils sont étudiants dans un centre de francisation dont le mandat est de les aider à s’intégrer dans leur société d’accueil. Le Centre Pauline-Julien est situé dans Côte-des-Neiges, quartier de Montréal où la diversité ethnique est la plus importante de la métropole. Après avoir établi un lien de confiance avec les élèves, nous avons mené et enregistré des discussions avec chaque personne, en les encourageant à s’exprimer librement sur les sujets qui leur tenaient le plus à coeur. L’objectif était d’explorer leur parcours et leurs réflexions afin de faire ressortir les éléments communs que les nouveaux arrivants partagent. Les portraits se faisaient après l’entrevue. À partir des enregistrements, nous avons rédigé les textes qui accompagnent les portraits. Ces témoignages ajoutent une dimension que le portrait seul ne peut communiquer : les raisons de leur émigration, les souvenirs qui les hantent, leurs déceptions, leurs peurs, leurs espoirs, leur désir de vivre une autre expérience, comment être ici et là-bas en même temps. Ces récits lèvent le voile sur l’anonymat et amènent une réflexion. Chaque portrait est fait sur un fond noir. Nous avons exclu tout contexte, détail ou connotation sociale qui pourraient détourner l'attention. Nous voulions nous concentrer uniquement sur le visage et le gestuel du sujet, pour lui donner le premier rôle dans un espace intimiste. Certains sujets s’arrêtent sur une émotion ou une pensée et fixent l’objectif alors que d’autres poursuivent leur réflexion pendant la prise de vue sans pour autant fixer l‘objectif. Le troisième élément de ce projet consiste en une série de paysages urbains qui situent les sujets dans leur nouveau milieu de vie, Montréal. Autant les textes renvoient à un autre espace-temps, autant les paysages situent les sujets dans le présent. Autant les portraits sont intimistes, autant les paysages situent les sujets dans des espaces publics. Cela peut être parfois ressenti comme une confrontation face à la réalité, une rupture entre le monde qu’ils ont quitté et leur nouveau port d’attache. Ce sont ces espaces qui unissent tous les sujets.

L'un des attraits de Montréal tient à sa diversité culturelle. Les cultures se côtoient, se rencontrent, et de cette diversité naît une grande richesse. La religion, qui fut la raison même de la fondation de la ville, s'est enrichie au fil des vagues migratoires de lieux de culte, outre ceux du catholicisme. Le passage d'un pays à un autre, d'une culture à une autre ne se vit pas uniquement par la diversité des restaurants, épiceries ou autres magasins, mais aussi par des lieux de culte où les nouveaux arrivants qui partagent les mêmes valeurs peuvent se rencontrer. Or chaque culture, religion ou mode de vie est soumis à des règles et à des traditions qu'il convient de respecter et de comprendre plutôt que de juger. Parmi les religions non chrétiennes, on retrouve principalement du fait de l'immigration, l'Islam, le Judaïsme, le Bouddhisme, le Sikhisme, l'Hindouisme ... Aujourd'hui, elles connaissent un vrai regain d'intérêt et de curiosité mais elles suscitent beaucoup de craintes.

Plus connus sous le nom de « méos », les Hmongs forment un groupe important de la famille sino-tibétaine. Ils occupaient déjà une partie de la Chine qu’ils quittèrent pour échapper à la répression exercée par les troupes impériales contre les minorités ethniques. Au XIXe siècle ils entreprirent un long périple qui les amena dans les régions montagneuses du Nord Vietnam pour les uns, du Laos et de la Thaïlande pour les autres tout en conservant leur culture traditionnelle et leur langue d’origine. Lorsque, en mai 1975, le communisme s’installe au Laos, cette population trop indépendante est durement attaquée. Les Hmongs doivent fuir une nouvelle fois et se réfugier dans des camps de réfugiés en Thaïlande. Certains trouveront asile en France, d’autres en Guyane et aux États-Unis.

Au Laos, le bouddhisme est nettement visible, les temples abondent, les moines et les novices font partie du paysage. Le bouddhisme est une étape respectée par la plupart des hommes au cours leur vie. Devenir moine, vivre dans un monastère, ne serait-ce que pendant une courte période, fait partie de la vie des Laotiens. Par ailleurs, pour de nombreux enfants qui proviennent de villages éloignés, où il n’y a pas d’école, ou dont les parents pauvres n’ont pas les ressources nécessaires pour assurer la scolarisation de leurs enfants, c’est la seule possibilité d’avoir accès aux études gratuites et plus tard, pouvoir obtenir un emploi. Certains se destinent à la vie religieuse, mais la plupart pensent la quitter à la fin de leur noviciat, à l’âge de 19 ans. D’autres, après être devenu moine, retournent à la vie civile après avoir obtenu un diplôme universitaire ou pour fonder une famille.

When I went to Iran I had no idea what I was going to discover. Iranian friends had advised me to go to their country and so awakened my curiosity. I also wanted to see again this country where I had traveled before the Islamic Revolution and which for years has been badly considered in the media. On this trip, I could see that everything that is told about Iran, a country perceived as the "axis of evil", did not correspond to reality. For a month, going to Isfahan, Kashan then Shiraz, Qeshm, Varzaneh and Yazd, I realized that there was a huge discrepancy between the image of the country conveyed by the media and reality. From the beginning the welcome was warm, for the Iranians hospitality is a rule. Throughout this journey I met only people of great openness and subtlety of mind, as well as a beautiful curiosity about what is happening outside their country.

Ce pays de 3,5 millions d’habitants, enclavé entre la Roumanie et l’Ukraine, est devenu depuis son indépendance, en 1991, l’un des pays les plus pauvres d’Europe. La Moldavie étant un pays essentiellement agricole, la rupture des échanges agricoles avec la Russie et l’Ukraine a causé une baisse de revenu considérable dans les familles. Ébranlés par cette profonde crise politique et économique de nombreux Moldaves sont partis tenter leur chance à l’étranger. Les villages se sont vidés, des écoles et des collèges professionnels ont fermé et ont été laissés à l’abandon. La vie est difficile, la corruption omniprésente. Les expatriés envoient de l’argent à leurs parents restés au pays pour les aider à survivre. À Chisinau on peut constater que la richesse côtoie la pauvreté dans la plus grande indifférence. Les villes profitent, les villages restent pauvres.

Soroca, petite ville au bord du Dniestr, à la frontière ukrainienne, est aussi connue pour être la capitale des Roms. Le quartier Tzigane se trouve sur la colline au centre de Soroca. Les maisons rivalisent moins par leur architecture que par leurs dimensions. Fortement affaiblis à la chute de l'URSS, de nombreux Tziganes, tout comme les Moldaves, peinent à maintenir leur niveau de vie. Derrière certaines façades aux allures majestueuses, les familles n'occupent généralement qu'une pièce à vivre qui sera plus facile à chauffer pendant l'hiver.

L'un des attraits de Montréal tient à sa diversité culturelle. Les cultures se côtoient, se rencontrent, et de cette diversité naît une grande richesse. La religion, qui fut la raison même de la fondation de la ville, s'est enrichie au fil des vagues migratoires de lieux de culte, outre ceux du catholicisme. Le passage d'un pays à un autre, d'une culture à une autre ne se vit pas uniquement par la diversité des restaurants, épiceries ou autres magasins, mais aussi par des lieux de culte où les nouveaux arrivants qui partagent les mêmes valeurs peuvent se rencontrer. Or chaque culture, religion ou mode de vie est soumis à des règles et à des traditions qu'il convient de respecter et de comprendre plutôt que de juger. Parmi les religions non chrétiennes, on retrouve principalement du fait de l'immigration, l'Islam, le Judaïsme, le Bouddhisme, le Sikhisme, l'Hindouisme ... Aujourd'hui, elles connaissent un vrai regain d'intérêt et de curiosité mais elles suscitent beaucoup de craintes.

L'un des attraits de Montréal tient à sa diversité culturelle. Les cultures se côtoient, se rencontrent, et de cette diversité naît une grande richesse. La religion, qui fut la raison même de la fondation de la ville, s'est enrichie au fil des vagues migratoires de lieux de culte, outre ceux du catholicisme. Le passage d'un pays à un autre, d'une culture à une autre ne se vit pas uniquement par la diversité des restaurants, épiceries ou autres magasins, mais aussi par des lieux de culte où les nouveaux arrivants qui partagent les mêmes valeurs peuvent se rencontrer. Or chaque culture, religion ou mode de vie est soumis à des règles et à des traditions qu'il convient de respecter et de comprendre plutôt que de juger. Parmi les religions non chrétiennes, on retrouve principalement du fait de l'immigration, l'Islam, le Judaïsme, le Bouddhisme, le Sikhisme, l'Hindouisme ... Aujourd'hui, elles connaissent un vrai regain d'intérêt et de curiosité mais elles suscitent beaucoup de craintes.

L'un des attraits de Montréal tient à sa diversité culturelle. Les cultures se côtoient, se rencontrent, et de cette diversité naît une grande richesse. La religion, qui fut la raison même de la fondation de la ville, s'est enrichie au fil des vagues migratoires de lieux de culte, outre ceux du catholicisme. Le passage d'un pays à un autre, d'une culture à une autre ne se vit pas uniquement par la diversité des restaurants, épiceries ou autres magasins, mais aussi par des lieux de culte où les nouveaux arrivants qui partagent les mêmes valeurs peuvent se rencontrer. Or chaque culture, religion ou mode de vie est soumis à des règles et à des traditions qu'il convient de respecter et de comprendre plutôt que de juger. Parmi les religions non chrétiennes, on retrouve principalement du fait de l'immigration, l'Islam, le Judaïsme, le Bouddhisme, le Sikhisme, l'Hindouisme ... Aujourd'hui, elles connaissent un vrai regain d'intérêt et de curiosité mais elles suscitent beaucoup de craintes.

Le Festival western de Saint-Tite a lieu chaque année dans une municipalité située entre Montréal et Québec. Cette petite ville de Mauricie compte environ 4000 habitants mais en accueille près de 600.000 pendant la durée du festival. Au mois de septembre, c'est le rendez-vous par excellence pour vivre au rythme des cowboys. Pendant dix jours, des milliers de gens vêtus de chemises à carreaux, de jeans, et coiffés d'un chapeau de cow-boy assistent aux diverses compétitions de rodéo et autres activités équestres, aux concerts d'artistes country ou dansent au rythme de la musique country. Festival connu pour la qualité de son rodéo, nommé Meilleur rodéo extérieur en Amérique du Nord, les compétiteurs viennent du Canada, des Etats-Unis et d'Europe.

Regards d'ici et d'ailleurs L'idée de ce projet est venue en côtoyant dans le quotidien des adultes provenant de diverses parties du monde. Situé à Montréal, au coeur de Côte-des-Neiges, le Centre Pauline- Julien est un centre de francisation pour immigrants. En observant les étudiants, nous avons découvert des instants de vie se reflétant dans un geste ou un regard, un mouvement, une moue, ou un hochement de tête. Ces expressions silencieuses, cette pudeur, expriment une diversité culturelle et c'est cela que nous avons tenté de traduire à travers ces images. Dans notre quotidien on évite souvent de croiser le regard des gens. Que ce soit dans les transports en commun ou dans la rue, l'insistance d'un regard gêne, dérange voire peut agresser. Dans certaines cultures regarder les gens dans les yeux est une impolitesse pour d'autres c'est le contraire. Mais, croiser du regard une personne et lui sourire des yeux embellit ce moment furtif. Des yeux qui parlent ... C'est avant tout un échange de confiance entre le photographe et son sujet. À travers la provenance géographique des sujets, les photos offrent un panel de regards, une variété d'expressions qui passent de la fierté à l'interrogation ou à la complicité. Qu'ils s'appellent Chi, ZamZam ou Karim, ils ont laissé parfois derrière eux une vie remplie d'horreur, qu'ils ont quittée rapidement en emportant avec eux l'espoir d'une nouvelle vie. C'est aussi cela qui nous a ému et qu'il fallait à tout prix vous communiquer. Les personnes photographiées sont des étudiants qui venaient de leur plein gré après la fin de leur cours de français. Ils ont été photographiés comme ils étaient vêtus, maquillés ou non. Nous remercions tous les étudiants et le Centre Pauline-Julien de nous avoir permis de réaliser ce projet. Suzanne Genest et Philippe Montbazet

Alors que Montréal s'urbanise de plus en plus, des projets verts se multiplient : ruelles vertes, toits verts, jardins communautaires ou jardins collectifs. Les arrondissements de Montréal mettent à la disposition des futurs jardiniers des parcelles de terre constituant des jardins. Actuellement il y a 5500 jardinets répartis dans 97 jardins. S'occuper de ses plantes ou de ses légumes est une bonne façon de savoir ce que l'on mange tout en faisant des économies. Ces jardins sont aussi des havres de paix où il fait bon se ressourcer avant ou après une journée de travail, oublier ses problèmes pendant quelques instants, rencontrer des gens de son quartier. Les communautés culturelles sont particulièrement présentes dans ces jardins communautaires. Les nouveaux arrivants utilisent leur jardin pour faire pousser des aliments qu'ils ne retrouvent pas facilement au marché. Dans certains jardins, comme ceux de Côte-des-Neiges ou de Parc-Extension, en côtoyant ces jardiniers on oublie parfois que l'on se trouve au coeur de Montréal.

Au coeur de ce projet, il y a une série de portraits et de témoignages, d'où le titre de notre projet « Carré rouge : droit de parole ». À travers ces rencontres, nous nous sommes intéressés aux retombées politiques et économiques des décisions du gouvernement dans la vie des étudiants. Au fil des jours, nous avons interviewé des étudiants, des enseignants du secondaire, des professeurs de CEGEP et d'universités, et des parents. Pour compléter notre travail, nous avons accompagné ces témoignages d'images photo-journalistiques et artistiques pour illustrer l'impressionnante créativité dont les étudiants ont fait preuve tout au long des manifestations ainsi que pour témoigner de l'ampleur de la gravité des évènements. Puis, ces manifestations et revendications se sont inscrites d'elles-mêmes dans un contexte de crise sociale historique. En refusant la hausse des droits de scolarité, les étudiants ramènent le débat sur la nécessité de faciliter l'accès à l'éducation pour tous, en demandant aux dirigeants de trouver les moyens de maintenir le gel des frais voire d'assurer la gratuité scolaire. Les manifestations qui se multiplient et qui dégénèrent, la violence qui se fait de plus en plus forte, les victimes, les citoyens qui, à leur manière, manifestent leur soutien aux étudiants en se prononçant contre la loi 78 sont autant de raisons qui justifient notre engagement dans cette démarche photographique.

Over 1.200 Palestinians have been killed and more than 6.500 have been wounded since Israel's attacks on Gaza on July 8, 2014. This newest assault began with air and naval bombardments and has since led to a ground invasion. Numerous demonstrations have taken place in Montreal to stand in solidarity with Palestine and the people of Gaza.